Indiana Jones

Re tout le monde ! Je me suis dit qu'il était temps d'en mettre une autre parce que si j'attend d'avoir fini de publier la première pour vous mettre autre chose, ca risque d'etre long vu qu'elle est actuellement encore en chantier.
Donc, je vous propose une autre aventure plus moderne avec toujours autant de stars (si jamais vous en voyez que vous savez pas qui c'est dite le, je vous explique ! Lol). Elle est aussi écrite en collaboration avec une amie (pas la meme attention).
En exclu, une aventure inédite du plus grand des aventuriers : Indiana Jones et le secret de Nicolas Flamel !

Bonne lecture et la aussi, j'attend des réactions pour savoir si vous trouvez ca bien ou complétement pourri (vous avez le droit de le dire ! lol)

Bon, je suppose qu'il est inutile de présenter Indiana Jones, de son vrai nom Henri Jones Jr (même si je vais le faire quand même). Brillant professeur d'université et archéologue hors pair, il part souvent à l'aventure afin de retrouver les trésors perdus pour les exposer, à leur place, dans les musées. Pour mener à bien ses missions, il s'est doté d'un excellent collaborateur, Florian, jeune, toujours souriant, mais sérieux dans son travail (attention). Marcus, l'ami d'Indiana le charge aujourd'hui d'une nouvelle mission : retrouver la pierre philosophale.

Indiana : Mais Marcus, vous plaisantez ? La pierre philosophale est un mythe. Je n'ai pas l'intention de courir après des chimères !
Marcus : Ne soyez pas si empressé Indy. Nos archéologues ont mis à jour un parchemin, signé par Nicolas Flamel.
I : Flamel ? Un canular ! Rien de plus !
Florian (fouillant dans ses papiers) : Les chercheurs l'ont pourtant identifié comme un authentique du XVe siècle, 1409, très exactement.
I : Hmm ! Vous n'avez rien d'autre que ce parchemin ?
M : Ma foi, non.
I : Et que dit-il ?
F : Flamel explique que pour deux florins, il a acheté un livre doré signé de la main d'Abraham, écrit en hébreu. Cet ouvrage traitait d'alchimie. Il écrit ensuite que pendant des années, il cherche à déchiffrer les feuillets que contient le livre. Il semble que ce soit en 1382 que son travail aboutit enfin avec la création de la pierre philosophale.
I : Et je suppose que Flamel n'a pas mis avec son parchemin une carte avec l'emplacement exact de son trésor.
F (blasé) : Evidemment.
M : Voyons Indy. Il vous suffit de retrouver les feuillets. La suite est un simple jeu de piste ! Vous pouvez faire cela tout de même ?

Il hésita une petite seconde. D’un côté, sa curiosité le poussait à accepter, mais, d’un autre côté, la pierre philosophale avait toujours été un mythe et si un parchemin avait vraiment été découvert, des chasseurs de reliques et certaines de ses anciennes connaissances risquaient fort de réapparaître.

F : Allez Indy, ce sera la 1e fois que je partirai à l’aventure !
I : Partir à l’aventure, dit comme ça on croirait presque que c’est agréable !
M : Enfin Indy, ne me dites pas que vous gardez de mauvais souvenirs de notre petite escapade en Jordanie avec votre père !

Il réfléchit un centième de seconde. Des mauvais souvenirs, non ! Il avait juste faillit être brûlé vif, mitraillé, écrasé par un tank, aplati comme une crêpe, il avait rencontré Hitler et avait perdu une de ses nombreuses ex-petites amies, mais, à part ça… Tranquille ! Il se tourna vers Marcus et Florian pour leur dire qu’il refusait, mais, devant leurs regards, il céda finalement à sa curiosité.

I : D’accord ! Quand partons-nous ?
M : Je vous ai pris des billets pour dans 2 jours. Vous arriverez à Paris dans 3 jours. Le parchemin a été retrouvé dans sa maison parisienne. Deux de nos collaboratrices vous y attendront, elles sont prévenues de votre arrivée et devraient venir vous chercher à l’aéroport.
I : Vous avez acheté les billets avant même de m’avoir demander si j’acceptais ?

Marcus lui sourit et leur tendit les billets.

M : A bientôt !

Dans le dirigeable.

Tranquillement installé en 1e classe, Indy et Florian volaient pour la France. Alors qu’Indy lisait calmement le journal, Florian, plus excité que jamais (et encore, tu n’es pas encore dans l’histoire !!!), sautillait sur son fauteuil et sursautait aux moindres mouvements des hôtesses.

I : Florian arrête de sauter dans tous les sens tu vas faire s’écraser le ballon.
F : Hein, oh oui pardon ! C’est juste que j’ai hâte d’être arrivé !
I : Pourquoi ? Tu as tant envie que ça de te faire tuer ! Tu sais si tu as des problèmes, tu peux m’en parler !
F : Pourquoi faut-il toujours que tu casses l’ambiance ? Non, moi j'ai hâte d’être à Paris, de découvrir la pierre…
I : De rencontrer les deux jeunes archéologues …
F : Aussi oui…Non !

" Votre attention s’il vous plait, nous amorçons notre descentes vers Paris, veuillez attacher vos ceintures "

I : Calme toi Casanova, à mon avis, ce sont deux vieilles sœurs, un peu revêches qui ne vivent que pour leur travail !

aoppop77 a écrit:

Le début me plait bien !!!

A moi aussi!!
C'est vraiment super ce que tu écris avec ton amie lili mali !

Merci Ca leur fera plaisir aussi je pense ! Bon, je vais essayer d'égayer un peu cette journée, meme si je me doute que ca va etre dur !

En arrivant dans le hall de l'aéroport, ils cherchèrent du regard les deux "vieilles sœurs". Mais, à la place, ils trouvèrent deux charmantes jeunes femmes. La plus grande (désolée Nana, mais, faut bien que je nous différencie) portait un chemisier blanc sur une longue jupe bleu nuit, la plus petite (;-D) une petite chemise parme sur une jupe beige. La première s'avança.
Aude : Professeur Jones ?
I : Lui-même.
A (elles lui serrent la main) : Enchantée. Je me présente Aude de Musset. Voici ma sœur, Anne-Charlotte.
F : Vous avez un lien de parenté avec le poète ?
Anne-Charlotte (avec un petit rire) : Non, aucun.
F : Ah.
I : Oh oui, j'oubliais. Florian, mon… Assistant.
A (tout sourire) : Ravie.
A-C : Suivez-nous, notre voiture est garée à la sortie.

Dans la voiture

I : Mlles, vous nous avez été recommandées, mais… Je dois admettre que je n'ai jamais entendu parler de vous.
A-C : C'est normal. Les spécialistes de la pierre philosophale préfèrent rester discrets. Les chasseurs de trésors sont toujours à l'affût.
F : Mais spécialiste de la pierre philosophale, ce n'est pas un métier ? (tout en délicatesse !)
A : Bien sur, mais c'est par nos métiers respectifs que nous sommes devenues les plus renseignées sur Nicolas Flamel et ses travaux. Anne-Charlotte est traductrice de Latin, elle a déjà traduis tous les textes de Flamel.
F : Et to… Pardon, et vous ?
A (avec un sourire) : Vous pouvez me tutoyer, ça ne me dérange pas. Bien au contraire. Pour répondre à TA question, je suis chargée des visites de la maison de Flamel. C'est pourquoi je suis censée connaître sa vie sur le bout des doigts.
A-C : D'ailleurs, nous y arrivons.
A (soudain inquiète) : Oui… Et la porte est ouverte, ce qui n'est techniquement pas normal puisqu'il n'y a pas de visites aujourd'hui…
A-C : Tu as pensé a fermer la porte au moins ?
A : Oui pourquoi ?
A-C : Parce que la dernière fois qui a laissé ouvert pour que Mirco puisse sortir ?
A : Mais il allait pas rester enfermé toute la journée à l’intérieur !!!
I : Euh, excusez-moi de vous déranger, mais qui est Mirco ?
A : C’est notre chat.
A-C : Quand on fait des recherches dans la maison, on aime l’avoir avec nous car il entend tout de suite si quelqu’un essaye d’entrer dans la maison.

Tous se regardèrent comme des chiens de faïence pendant une seconde puis Florian dit : " il faudrait peut-être rentrer pour voir ? "

A-C : Mais il est très perspicace ce garçon !

Elle reçut un coude de coude de la part de sa sœur. Indy s’avança vers la porte.

I : La serrure a été fracturée. Je m’occupe de la situation, où sont mes bagages ?
A : Dans le coffre, pourquoi ?

Indy ne lui répondit pas. Il alla au coffre, l’ouvrit et sortit de ces valises un grand fouet en cuir.

F : Indy, tu vas peut-être pas…
A : Un fouet… Dans une maison moyenâgeuse remplit de reliques… Quand je disais a Marcus que les Américains étaient tous cinglés !
A-C : Vous jouez encore avec un fouet à votre âge. Vous avez eu une enfance malheureuse, vous voulez peut-être en parler…
I : Vous avez peut-être une autre idée mesdemoiselles ?

Elles se regardèrent en souriant.

A-C : On joue à Passe muraille ?
A : Après toi !

Elles s’avancèrent vers un mur de la maison qui était totalement recouvert de lierre. Aude tira quelques branches et ils découvrirent une petite porte.

I : Une porte dérobée !
A : Oui, en lisant son journal on s’est rendu compte que plus ses recherches avançaient plus il devenait paranoïaque, il a donc fait construire dans toute la maison une série de galeries qui passent à l’intérieur des murs.

Les deux sœurs ouvrirent la porte et entrèrent. Florian passa sans trop d’encombre à l’opposé d’Indy qui du se contorsionner pour rentrer à l’intérieur. Devant ce spectacle des plus amusants, Anne ne put s’empêcher d’ajouter : " C’est vrai qu’il faut pas être trop grand !".

Ils avancèrent dans les couloirs obscurs et poussiéreux jusqu’à ce que Florian pousse un cri.

F : Aaaaaaaaaaaah ! Quelle horreur !

Aude se retourna et retira la minuscule araignée qu’y était montée sur Florian.

F : Merci, j’ai une peur bleu des araignées, tu viens de me sauver la vie !
A : C’était rien, tu en aurais fait sûrement autant pour moi !
A C : Si vous voulez, on peut vous laisser à la chambre d’Aude, elle n’est pas très… Aie !

Sa sœur venait encore de lui donner un coup de coude ! Indy souleva un judas et s’exclama : " Regardez dans le salon ! "

Mais si Aoppop elle a un nom ! Elle s'appelle Complot à la Cour de France !

Super Lili Mali!
Bravo, une nouvelle fois !

Tous regardèrent. Au milieu de la pièce, trois hommes d'apparence peu sympathique étaient en train de tout retourner.

A (tout bas) : Ah ben bravo ! Et qui c'est qui va devoir se taper tout le rangement après ? Ben, c'est bibi !
A-C : Chut !
1er homme : Jack, bouge-toi, on a autre chose à faire que reluquer les minettes en photo !
2ème : En plus, c'est les proprios ! Et on ferait mieux de se dépêcher parce qu'elles vont pas tarder à revenir.
Jack : Oh, ça va ! Dommage, j'en aurais bien fait mon repas !
A (tout fort) : Grossier personnage !

Les trois hommes s'immobilisèrent et sortirent leurs revolvers.

A-C (bas) : Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils sont mieux équipés que vous.
I (//) : Ca, c'est vous qui le dites !
Indy sortit de sa poche son propre revolver parce qu'il sait qu'il est des situations où le fouet paraît un peu désuet !
I (il tend le revolver à Aude) : Si ça tourne mal, n'hésitez pas à vous en servir.

Sans attendre de réponse, il se glisse silencieusement dans le salon où les trois bonhommes lui tournent le dos.

A (bas) : Mais… Je sais pas comment ça marche ce truc !
I : Bonjour messieurs !
Jack : Eh ! Qu'est-ce qu'il fait là celui-là ? Ern, c'était pas prévu, ça !
I : Bizarrement, j'allais vous poser la même question. Incroyable comme les grands esprits se rencontrent, non ?
Sans attendre, Ern et son troisième acolyte se jetèrent sur Indy et une lutte acharnée commença.

A : Roh ! S'ils continuent comme ça, cette maison va se transformer en champ de ruine !

Ne faisant ni une ni deux, elle descendit rejoindre Indy. Le problème, c'est qu'ils bougeaient tellement qu'elle n'arrivait pas à viser un des deux agresseurs. Profitant de son hésitation, Jack arriva par derrière, envoya valser le revolver, lui attrapa les poignets de telle sorte qu'elle ne put plus bouger.

J : Mieux que sur la photo quand même.
A : Lâche-moi, sale brute !

Jack n'eut pas le temps de répondre, un bruit sourd se fit entendre et le malfrat s'effondra, lâchant sa proie. Aude se retourna et vit Florian un vase brisé dans les mains.

A : Florian ?!
F : Ca va ?
A : Tu te rend compte que tu viens de briser un vase vieux de six siècles ?
F : Euh… Désolé… Mais, je t'ai sauvé.
A : Oui… Faut voir le bon côté des choses.

Voyant que le combat tournait mal pour eux, les deux bandits s'enfuirent à toutes jambes traînant leur complice derrière eux. Anne-Charlotte descendit enfin de son perchoir.

A-C (avec un air satisfait) : Bon et ben ça c'est fait !
A : Oui, pas forcément grâce à toi !
(Tu vas me le payer !!! crois-moi, ça va être terrible !)
A-C : Peut être, mais pendant que vous étiez en train de transformer cette maison en … Ma chambre, j’ai remarqué quelques petites choses !
1- Florian vient de casser un vase de Murano de plus de six siècles.
2- Indy a des fesses merveilleuses
3- Aude arrête de faire ton beau sourire à Florian, il va nous faire une syncope et de toute façon c’est pas un homme pour toi, il ne sais pas chanter !
F (en pleurnichant) : C’est même pas vrai…
A-C : De toute façon on s’en fiche c’est pas ça le truc important que je voulais dire. J’ai remarqué que
.
.
. (Suspense !!!)
Je connais un des hommes qui nous a cambriolé !
I : Et c’est ?...

Raaah ! Y'a du suspens ! Lol

C'est pas du tout que ça me soule [QUE CA SOIT BIEN CLAIR!!] mais je dois y aller! alors je lirai plus tard! [mais ca me soule d'yaller, ca c'est vrai!]

A ce moment de l'histoire, je crois qu'il est bon de rappeler certaines petites choses surtout concernant le mechant dont il est question !

Peter Stringer est en réalité le demi de mélée officiel de l'équipe nationale d'Irlande. Il a effectivement une tete de requin et personnellement, il me fait vraiment peur ! Mais, il faut aussi savoir que lorsque j'ai écrit cette partie de l'histoire, la France venait de perdre un match contre l'Irlande donc j'étais un peu remontée !
En dehors de ca, j'adore l'équipe d'Irlande... Surtout son numéro 13 (que l'on verra plus tard d'ailleurs)

Un portrait du méchant pour que vous puissiez mettre un visage sur le nom ! (évidemment, j'allais pas mettre une photo qui l'avantage ! Lol)

xD!
J'aime toujours autant!
bravo

Voila the suite !

A (bas à Anne) : Je t'expliquerait plus tard.
F (profil bas) : Euh… Si nous commencions à examiner ce livre. Que contient-il ?
A-C : Eh bien, nous le saurons en le lisant, mais comme c'est un gros livre, ça va prendre un certain temps pour le lire.
I : On n'est pas pressé.
A-C : Alors, tant mieux.

Pendant plusieurs jours, les quatre jeunes gens restèrent enfermés à étudier les moindres recoins du livre. Florian semblait très mal supporter l'enfermement, il montrait effectivement des signes inquiétants de nervosité. Aude était dans la même situation mais sans doute pas pour la même raison. Anne s'en rendit compte très rapidement.

A-C : Ecoutez vous deux, vous commencez à m'agacer sérieusement à force de vous agiter comme ça. Alors, je vous conseille d'aller prendre un peu l'air et de me laisser travailler en paix. (Elle se tourne vers Indy) Ca s'adresse aussi à vous.
I : Mais, je…

Elle lui lança un regard sans équivoque et qui ne suggérait aucune réplique. À tel point que l'aventurier prit veste et chapeau et quitta la maison poussant ses deux acolytes devant lui.

A-C : Non mais, c'est vrai quoi, on est tellement mieux dans le calme.

Dehors

F : Alors ? Où va-t-on ?
I : C'est la première fois que je viens à Paris, comment le saurais-je ?
A (grognant) : Ca dépend ce qui vous intéresse.
I : Eh bien, comme il semble que vous ayez l'un comme l'autre besoin de vous détendre, je suggère un café.
A : Dans ce cas, je connais un café assez sympathique… Avec musique et piste de danse (héhé…). (Avec un petit sourire narquois) Dis moi, Florian, est-ce que tu sais danser le tango ?
F : Euh… Non.
A : Eh bien, je t'apprendrai…
F (avec un grand sourire) : Super !
I : Bon, on y va.

Et pendant qu’Anne attend avec impatience toutes les merveilleuses aventures qu’Al lui prépare, les trois compères arrivent joyeusement devant un café qui n’avait pas tout à fait l’air honnête !

I : Mais où est-ce que vous nous emmenez ?
A : Ne vous inquiétez pas, nous on va en bas !

Aude rentra dans le bar et descendit un petit escalier qui se trouvait à droite de l’entrée.

A : En haut, c’est pas très amusant on peut pas danser alors qu’ici…

Elle tira un gros rideau de velours rouge et les garçons découvrirent une grande salle décorée dans les tons de rouge profond. Vers l’entrée, on y trouvait un grand bar où deux barmans et deux serveuses buvaient tranquillement un dernier verre avant que la soirée ne commence. Il y avait peu de tables, plus des canapés et des fauteuils eux aussi recouvert de velours rouge qui étaient regroupés devant des tables basses en bois d’acajou.

F : C’est sûr ! C’est plus sympa en bas !
A : Venez, allons boire quelque chose au bar.

Super

Voila voila !! J'suis en période de partiels moi, je manque de temps ! Donc voila la suite !

A : Venez, allons boire quelque chose au bar. Qu'est-ce que vous prenez ?
I : Qu'est-ce que VOUS prenez ! C'est moi qui paie.
A : Mais je…

Indy la regarda avec insistance.

A : Très bien, très bien. Je vais quand même pas me plaindre parce que vous m'empêchez de dépenser mon argent !
F : Ce serait un comble.
A : Garde tes remarques pour toi !
F : Désolé.
I : Bon ! Je crois que ce charmant serveur attend votre commande les enfants !

Pendant ce temps dans la maison des deux sœurs.

A-C : Ah ! Ça fait du bien un peu de silence. Je vais enfin pouvoir me concentrer sur cet ouvrage ! Alors… Hum… Voilà qui est intéressant… Mais, je ne comprend pas, philosophale est un mot de racine grecque, alors où cela nous mène-t-il ?

Alors qu'Anne était absorbée par son ouvrage, un bruit suspect se fit entendre. Elle se redressa. Le bruit recommença. Elle avança de quelques pas dans cette direction. Soudain, le chat angora sauta brusquement du haut de l'armoire.

A-C : Mirco ! Non mais, franchement. Tu veux me rendre paranoïaque !

En se tournant pour aller vers son siège, elle se trouva nez à nez avec un automatique, dont la crosse glaciale semblait viser un tout petit point, bizarrement, situé entre ses deux yeux.

A-C : Vous !
Peter : Eh bien ma belle ! Expliquez-nous un peu ce que vous avez trouvé…

De retour au bar !

Un serveur s’avança vers eux.
S : Salut Aude ! Je te sers quoi ?
A : Un litchi corp, Paul, merci.
P : Et pour ces messieurs ?
I : Un whisky !
F : Un verre de lait.

Tous les regards se tournèrent vers lui et il leur répondit par un grand sourire !

P : Bon, ben, je vais aller traire Noiraude et j’essaie d’être rentré avant la nuit !

I : Vous le connaissez ? (une fois le serveur parti)
A : Paul, oui, on a fait nos études d’histoire ensemble ! Son mémoire est consacré à Merlin. " Merlin, l’homme derrière le mage ", c’est bien parti pour devenir un best seller !
I : Sans doute…

Paul revint avec les boissons.

P : Eh voilà !
A : Marianne n’est pas là ?
P : Non ma Poppée est partie plus tôt ce soir ! Elle vit actuellement une histoire d’amour aussi intense qu’unilatérale avec un mec en collant qui se produit ce soir alors elle est partie l’admirer ! Mais elle a dit de te passer ça si tu venais.

Il partit vers la sono (je sais pas trop le nom que ça avait à l’époque !)

P : Elle l’a reçu hier, tout droit de je sais pas où ! Elle pense le passer à la prochaine fête latino, mais elle voudrait ton avis.

La musique commença, c’était un tango. Je pense à Epoca de Gotan Project… c’est très sexy !

F : C’est très beau
A : Oui, c’est parfait pour danser.
I : Vous nous faites une démonstration ?
A : Moi ? Oh non je ne suis pas assez douée…
P : Pas assez douée ? Tu veux rire ! La dernière fois, on faisait la queue jusque dehors pour danser avec toi !
A : Paul arrête ! Et de toute façon tu exagères !
P : Oui, un peu c’est vrai…Mais tu danses quand même très bien !

Vidant son verre de lait comme un cow-boy terminant son 25e whisky cul sec, Florian se leva et alla vers Aude et lui tendant la main lui demanda :

F : Aude tu veux danser avec moi ?

Je tiens quand même à rappeler que pendant ce temps-là moi, on me prend en otage !!!!

Mais après cette petite parenthèse, retournons au bar !

I : Tu sais danser ?
F : Ben…
Aude (ravie) : T’inquiète pas ! Je vais t’apprendre !

Elle descendit de son tabouret et pendant que Paul remettait le CD au début, s’avança sur la piste de danse avec Florian.

A : D’abord il faut que tu mettes une main là et tu me donnes l’autre.

Elle mit sa main droite sur sa hanche, mit sa propre main sur son épaule et noua leurs deux autres mains au niveau de leurs épaules.

A : Ca te gènes pas trop si je conduis…
F : Non…
A : Bien, et le plus important dans le tango c’est de ne jamais lâcher le regard de son partenaire d’accord ?

Florian acquiesça. La musique recommença et ils commencèrent à bouger au rythme de celle-ci. C’était très sexy, et après les premières secondes où il ne sentait pas très à l’aise Florian commença à y prendre goût. Il profita donc de son sursaut d’assurance pour rapprocher Aude de lui. Ils continuaient de se regarder dans les yeux tout en dansant et ils se sourirent malicieusement quand Florian descendit sa main qui à l’origine se trouvait sur la hanche de Aude. Elle ne dit rien et ils continuèrent de danser.

I : Ils se débrouillent pas mal …
P : Et encore vous n’avez pas vu la fin !

Quand Aude sentit que la chanson se finissait, elle attrapa Florian par le col pour s’arrêtait pile à la fin de la musique dans la position la plus connue du tango, lui, penché sur elle la tenant fermement dans ses bras et elle, accrochée à lui avec une jambe remontée sur son dos.

I : En effet !

Florian était bizarrement écarlate !

A : Pas que la position me déplaise, non, mais tu comptes me lâcher un jour ?
F : Hein quoi… Euh, oui pardon (en se relevant) tu danses merveilleusement bien !
A : Merci. (Elle lui dépose un baiser entre la joue et les lèvres)

I : Arrêtez de faire ça Aude ou il va nous faire une syncope !

Florian fit une grimace en allant se réinstaller sur son tabouret. Aude fit un grand sourire, elle ne demandait pas mieux que de jouer les infirmières avec ce charmant garçon.

A (soupir) : Ah, ça fait du bien de se lâcher un peu ! Par contre, maintenant, j'ai chaud ! Paul, tu m'en sers un deuxième ?
P : Ca roule.

Alors que Paul essuyait tranquillement ses verres, que Florian se remettait doucement de ses émotions et qu'Indy se battait avec le juke box (parce qu'à l'époque, c'est tout ce qu'ils avaient Nana), Aude eut un sursaut et manqua de s'étrangler avec son cocktail.

A : Mirco !!!!!

En effet, le chat angora se tenait entre les rideaux de la porte d'entrée, regardant fixement sa maîtresse. Tous se retournèrent sur la jeune fille, essayant de comprendre son trouble. Ils la virent sauter de son tabouret, enfiler sa veste et s'avancer vers la sortie. Brusquement, elle se retourna.

A : Eh ben ? Qu'est-ce que vous attendez pour venir ? Que je vous appelle ?

Indy régla la note en vitesse et les deux hommes la suivirent sans dire un mot. Ils rentrèrent en courant. Arrivée devant la maison, Aude ouvrit la porte à toute volée et appela sa sœur. Pas de réponse, la maison était désespérément vide.

I : Serait-il possible d'avoir une explication ?
A (en montrant le salon vide) : Ca vous suffit pas ? Faut que je vous fasse un dessin ?
I : Nos amis sont passés par là.
F : Et ils sont pas reparti les mains vides, apparemment.

Aude se mit à pleurer à chaudes larmes : "ma p'tite sœur !", "la pauvre", "elle qui a encore tant à apprendre", "qu'est-ce qui va lui arriver", "elle qui est même pas capable de retrouver son chemin de l'épicerie jusqu'à la maison". Florian posa une main compatissante sur son épaule qu'elle serra très fort comme une petite fille sert son nounours.

I : Et nous n'avons aucun indice qui pourrait nous aider à la retrouver.

Aude eut un nouveau sursaut. Sa sœur était plus jeune, certes, mais pas tant que ça après tout. Elle avait sûrement laissé quelque chose pour les aider. Elle appela le chat qui sauta sur ses genoux et commença à farfouiller au milieu des poils.

F : Tu cherches quoi ?

Aude brandit le collier du chat.

A : Ca !
F : Ah…

Elle décrocha le petit tube métallique accroché au collier, l'ouvrit et en sortit un petit papier roulé.

A (lisant) : Le Voile de Chine !
I : Le quoi ?
A : C'est un restaurant chinois.
I : Mais encore ?
A : C'est aussi le point de rendez-vous de la pègre chinoise de Paris.
F : La pègre chinoise de Paris ?
A : Mais qu'est-ce que tu crois, Paris est une ville internationale ! Allons-y.
I : Au restaurant ?
A : Ben oui, j'ai faim. Pas vous ?
I (abasourdi) : D'accord.

En sortant, Florian lui sourit.

F : Impressionnant le coup du collier quand même !
A : Eh ! Faut être prévoyante !

I : Je peux voir le papier ?

Aude le lui tendit.

I : Mais il n’y a rien d’écrit ! Il y a simplement une tache d’encre !
A : Mais pas n’importe quelle encre !!! C’est de l’encre de chine, ça se voit elle ne brille pas à la lumière ! En plus, si vous regardez bien la tache, elle est en forme de mandarin, un oiseau sacré en Chine ! Tous les indices nous conduisent donc à ce pays ! Et comme on parle de ma sœur, eh bien ça veut forcément dire son restaurant préféré qui n’est autre que le Voile de Chine !
F : Ca veut peut-être aussi dire qu’elle a renversé de l’encre sans le faire exprès sur ce papier !
I : Tous ce qui arrivent à une raison !

Flop flop

I : Je trouvais que ça sonnait bien…
A : A mon avis ça ne marchera jamais ! Mais pour en revenir à ma sœur, elle a été prise en otage ! Ce n’est donc pas une simple coïncidence !

Et après ces bonnes paroles ils sautèrent dans le premier taxis et filèrent a travers la nuit jusqu’à ce fameux restaurant.


Pendant ce temps dans une pièce cachée du restaurant, attention, il s’agit d’un passage violent, avec scène de torture, il peut heurter la sensibilité de plus jeunes !

Dans ce passage, je tutoie Stringer, comme les personnages se connaissent d’avant l’histoire, ça fait plus réaliste !


La pièce était petite et mal éclairée, les murs étaient recouverts de carreaux crasseux jusqu aux 3 /4 de leur hauteur. Anne était attachée sur une chaise qui se trouvait au milieu de la pièce. On avait du la frapper derrière la tête car quand elle se réveilla, elle y avait horriblement mal.

Puis, la douleur passa et l’impatience arriva !

A-C : Il y a quelqu’un !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Au secours !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tout d’un coup, a porte s’ouvrit et un homme entra.

H : Ca ne sert à rien de t’époumoner, personne ne peut t’entendre d’ici !
A-C : Peter Stringer ! Ça ne te suffit pas de ravager ma maison, il faut en plus que tu me prenne en otage!
Pe : C’est toi et ta sœur qui m’y avez obligé ! Je n’ai rien trouvé d’intéressant chez vous et j’ai besoin de réponse !
A-C : Je ne te dirais rien !

Elle lui cracha à la figure ! Il s’essuya et un sourire diabolique apparut sur ces lèvres. Il approcha sa main de son visage et lui caressa la joue.

Pe : Tu peux toujours essayer de m’énerver mais je n’abîmerais pas un si jolie visage !
Mes chevilles vont bien, merci !
Pe : Mais, j’ai d’autres solutions pour te faire parler !

Attention ! Début du passage sensible !!!

[color:0fad=blue:0fad]Il frappa deux fois dans ses mains, et un serveur apporta plusieurs plats tous plus beaux les un que les autres !

Pe : D’après mes informations tu n’as pas mangé depuis ce matin… Et comme il est presque 23h, tu dois mourir de faim…

Anne regarda les plats en se mordant la lèvre inférieure. Elle avait faim… Tellement faim… Son estomac criait famine…
Mais elle devait tenir bon !

Pe : Alors nous avons d’abord, des nems tous frais qui sortent d’un grand bain d’huile (il en prit un), à rouler dans de la salade… Avec quelques feuilles de menthe !

Anne le regarder faire avec une envie folle. Un nem…Tout chaud et croustillant…

Pe : Parle et tu pourras en manger !
A-C : Je ne te dirais rien, requin !
Pe : Désolé pour toi ma belle, je n’ai pas de requin, mais j’ai …Des crevettes !

Et il lui passa sous le nez un plat de crevettes sauce piquante ! Ca sentait tellement bon…

A-C : Tu ne sauras rien !

Il prit un tabouret et s’assit juste à côté d’elle.

Pe : Dis moi qui sont les deux hommes qui sont arrivés ce matin ! Ils vous aide pour vos recherches ?

Anne lui lança un regard noir.

Pe en criant : Qu’est ce tu as a découvert dans ce livre et où sont les feuillets ?

Toujours aucune réponse, mis à part quelque gargouillis d’estomac tout à fait inutiles dans le déroulement de cette histoire !

Pe : Autant te dire de suite que si tu ne me dis rien à moi, mon patron te ferra parler et lui c’est pas un rigolo !
A-C : Quelle idiote ! A un moment j’ai cru que c’était toi le cerveau de l’histoire ! Mais cerveau pour toi, c’est un bien grand mot !

C’en était trop pour Peter, il la gifla et sortit de la pièce en hurlant !

Chouette une nouvelle lectrice !! Merci du compliment Lenwe !

Anne resta un moment silencieuse, fière de ce qu'elle venait de faire. Puis, comme réalisant sa situation, chercha un moyen de s'en sortir. Soudain, elle eut une illumination. Après plusieurs minutes de contorsions, elle réussit à atteindre la poche de sa jupe et attrapa sa lime à ongles, parce qu'une vraie femme ne sort jamais sans lime à ongles même dans les pires situations… À part sa sœur, mais, elles ont toujours eu un différend quant à la définition du mot femme, l'une la voyant coquette, l'autre trouvant ça futile et inutile.
Elle lima donc consciencieusement ses liens, sursautant au moindre bruit venant du couloir. Quand, enfin, elle en fut débarrassée, elle se leva et s'avança vers la porte. Mais, réalisant que les plats étaient toujours là, elle sauta dessus avalant tout ce qu'elle put puis, reprit son aventure, ouvrant la porte pour s'engouffrer dans le couloir.

A-C : Le tout est de savoir où je suis. Allons Anne, réfléchit un peu. (Soudain l'illumination) Il y a un restaurant au-dessus, trouve les odeurs de nourriture asiatique et tu trouveras les cuisines ! Ensuite, écoute d'où viens les bruits de conversations et tu trouveras la salle du resto. Facile !

Mais quand elle vit que le couloir était encombrés d'affreux vilains, elle se dit qu'après tout, ce ne serait peut-être pas si facile que ça.

Pendant ce temps, dans le restaurant, Indy, Aude et Florian s'étaient installés au bar du restaurant

F (planqué derrière un grand verre de saké) : Et maintenant ? Qu'est-ce qu'on fait ?
A : On réfléchit !
I : C'est un bon début.
A : Indy, vous qui avez une vue d'ensemble, dites-moi par quelle porte arrivent les serveurs.
I : D'une porte à l'autre bout du comptoir. Mais, elle est à la vue de tous, ce sera difficile d'y accéder.
F : Sinon, y'a peut-être une porte de service ? Non ? En général, dans un restaurant, y'a toujours une porte de service…
A (avec un grand sourire) : Florian… Tu es génial !
I (regard impressionné) : J'irais pas jusque-là mais bravo. C'est bien trouvé. Je paie et on y va.

Ils sortirent tous les trois et se dirigèrent vers l'arrière du bâtiment où il y avait effectivement une porte de service. Aude regarda Florian droit dans les yeux et lui sauta au cou à grands coups de "je t'aime" et "je t'adore".

I : Bon, ça va ! On est pas encore à l'intérieur je vous signale !
A : Je sais mais au moins on a trouvé un passage !
F (encore rouge pivoine) : Oui… Allons-y.

Ils entrèrent donc et arrivèrent dans un grand couloir blanc, désert. Avançant doucement, ils s'engainèrent dans un second couloir.

A (reniflant) : On approche des cuisines !
I : C'est pas vraiment le moment de s'en préoccuper, non ?
A : Vous oubliez qu'on n' a toujours pas mangé et j'ai donc toujours faim !
I : Oui, mais la première chose à faire, c'est de trouver votre sœur, on aura tout le temps de manger après.
F : Bizarrement, j'en suis pas convaincu. Mais enfin, c'est pas grave.

Au bout d'un moment, ils entrèrent dans couloir du sous-sol, plongé dans le noir.

A : Je le sens moyen le coup du couloir obscur.
I : Oh vous savez, c'est pas forcément les couloirs les plus obscurs qui sont les plus difficiles à traverser.

Flop flop (pour reprendre tes propres mots Nana)

A : Ca, par contre, ça pourrait marcher !
I : Je crois aussi. Bon, sur ces bonnes paroles, allons-y.

Alors qu'Indy et Florian avançaient dans le couloir, Aude resta immobile, interdite.

F : Aude ! Tu viens ?
A : Je… Vous voulez vraiment pas allumer la lumière ?
I : C'est ça ! Et pourquoi pas mettre un gyrophare et crier "On est là" !!!
F : Indy arrête ! Tu vois bien qu'elle a peur du noir.
I : Peur du… Peur du noir ???
A (agacée) : Ca vous pose un problème ?!

Indy ne répondit pas, mais, Florian s'approcha d'elle, lui prit la main et, avec un sourire engageant, la tira vers l'obscurité.
Soudain, ils distinguèrent une ombre fuyante malgré le noir qui les entouraient. Ils se tassèrent derrière un chariot, sur le côté, attendant de voir approcher l'ombre en question. Soudain, la voyant approcher, Indy lui sauta dessus. Un cri aigu retentit qui surprit l'aventurier, à tel point qu'avant d'avoir pu réagir, il sentit la douleur d'une griffure sur sa joue.

A : Anne !!!!!
A-C : Aude !!

Aude se jeta sur sa sœur pour la serrer dans ses bras.

I (reprenant ses esprits) : Mais, comment ?
A-C : Lime à ongles !
A : Evidemment. Fais moi penser la prochaine fois qu'on sort à en mettre une dans ma poche.
A-C : Pour ce que tu t'en sers !
A : Là n'est pas la question.
A-C : Là est toute la question !
F : Bon, est-ce que c'est vraiment le moment de parler de ça ?
A-C : Ah, il est là lui. Il s'est pas perdu en route ?
A (fusillant sa sœur du regard même dans le noir !) : Non seulement il s'est pas perdu, mais, en plus, c'est grâce à lui qu'on est là.
A-C : Voyez-vous ça.
I : Chut ! On vient.

En effet, avant qu'ils aient eu le temps de bouger, la lumière s'alluma, laissant apparaître cinq chinois, katanas et nunchakus en main.

A : Aïe, là, ça se corse !

Le premier s'avança en courant à grand renfort de cris de souris et de grands gestes rapides et compliqués. Alors que les trois autres reculèrent, Indy, stoïque face à l'adversité, sortit son revolver et tira sur le fameux karatéka.

F : Bizarre, cette scène me rappelle quelque chose…

Ne faisant ni une ni deux, Indy poussa ses trois amis vers la sortie afin d'échapper aux méchants asiatiques qui les poursuivaient en hurlant.

A : Ils vont ameuter tout le restaurant !

Ils arrivèrent à la fin du couloir, débouchant dans les cuisines. Malgré la course, Aude réussit à attraper nems et chips qu'elle avala avec plaisir.

A-C : Ils sont bon hein ?
A : Et comment !
A-C : Dommage que t'aies pas goûté aux crevettes sauce piquante.
A : Mais, je peux savoir quand t'as eu l'occasion de manger toi ?! Je te croyais retenue en otage.
A-C : En effet, mais, je t'expliquerai plus tard.

Arrivant dans la salle du restaurant, ils passèrent en courant devant les clients médusés. Retrouvant enfin l'air libre, ils grimpèrent à toute vitesse dans la voiture et filèrent le plus vite et le plus loin possible du restaurant.